Julien Foussereau

Avec My Love Affair With Marriage, Signe Baumane creuse avec un indéniable brio le sillon d’une œuvre à la fois ludique et introspective sur le besoin d’affirmation, l’identité et le genre. Lire la suite...

Découvrez la sélection de notre chroniqueur, Julien Foussereau qui a sélectionné le meilleur des jeux vidéo de ce début d’année ! Lire la suite...

Diffusé dans moult festivals à travers le monde, Le Royaume des abysses impressionne par sa furie visuelle. On n’en dira pas autant de sa narration confuse, souffrant notamment de la comparaison avec le cinéma d’Hayao Miyazaki. Lire la suite...

Le réalisateur Pablo Berger réussit son passage au cinéma d’animation avec Mon ami Robot, fable moderne sur la solitude en milieu urbain, adaptée d’un classique instantané de la bande dessinée jeunesse aux États-Unis. Lire la suite...

Alors qu’il avait annoncé sa retraite une décennie plus tôt, Hayao Miyazaki revient avec Le Garçon et le Héron. Moins définitif que le sublime Le Vent se lève, ce nouveau film s’envisage presque comme son prolongement surréaliste, sur le travail de deuil notamment. Lire la suite...

À la croisée entre le polar néo-noir, le thriller cyberpunk et une réflexion étonnamment mature, Mars Express s’envisage comme une mise au goût du jour intelligente des angoisses métaphysiques déjà abordées dans Blade Runner et Ghost in the Shell. Lire la suite...

L’adaptation cinématographique du manga bestseller Le Château solitaire dans le miroir, sur le spleen adolescent, avait tout de la promenade de santé pour Keiichi Hara. Pourtant, ce dernier livre un film évoquant un digest impersonnel. Lire la suite...

Derrière l’épopée à taille humaine d’une veuve pour cuisiner le plat préféré de sa fille turbulente, Linda veut du poulet ! raconte avec une espièglerie rare la superbe résilience propre à l’enfance pour surmonter la mort d’un être cher. Lire la suite...

Un adolescent perse s’accroche à son humanité et son entreprise de sauvetage pendant la guerre Iran-Irak. Par son lyrisme teinté de réalisme magique, La Sirène est une magnifique flamme d’humanisme, cherchant à survivre dans l’enfer d’une zone de guerre. Lire la suite...

En adaptant au cinéma son propre shônen à succès sur le basket, Takehiko Inoue signe avec The First Slam Dunk une épopée intimiste aussi astucieuse dans sa construction qu’impressionnante dans sa mise en scène. Lire la suite...

Malgré des décors splendides et le joli portrait d’une enfant et d’une adolescente, La Maison des égarées peine à décider dans quel genre s’installer. Lire la suite...

Porter à l’écran les nouvelles les plus frappadingues de Murakami est une gageure. Un défi que relève pourtant haut la main Pierre Földes avec ce film d’animation. Lire la suite...

L’absurdité de l’interminable conflit angolais vue à travers les destinées de trois femmes est au cœur de Nayola, ambitieux film d’animation faisant la part belle au symbolisme avec son approche impressionniste. Lire la suite...

En reprenant les codes du conte, Dounia et la princesse d’Alep raconte la soif de vivre d’une petite fille contrainte de fuir sa Syrie natale, détruite par les bombes. Avec beaucoup de pudeur et d’intelligence. Lire la suite...

Il émane de Goodbye! un parfum familier de récit d’apprentissage adolescent. Mais sa flamboyance visuelle ahurissante se voit amoindrie par la maladresse de son écriture un tantinet mièvre. Lire la suite...

Le duo non conformiste né de l’imagination de Gabrielle Vincent revient en salles. Si ce Voyage en Charabïe se révèle un poil moins éclatant dans sa pureté naïve, il gagne un propos politique en filigrane sur les sociétés tentées par l’orthodoxie autoritaire. Lire la suite...

Après l’échec commercial injuste de Dilili à Paris, Michel Ocelot se refait une santé avec Le Pharaon, le Sauvage et la Princesse, un théâtre moraliste articulé en trois contes. Un exercice proche de la zone de confort. Lire la suite...

Il est vaguement question de l’âme naissante à travers le numérique au cœur de Sing a bit of Harmony. Joliment exécuté, le film de Yasuhiro Yoshiura pêche parfois par son rythme en dents de scie et son immaturité générale. Lire la suite...

Acheté par Netflix, L’Enfant du mois de Kamiari est une plongée agréable dans le folklore shintoïste nippon. Mais son manque d’identité propre et ses emprunts évidents à Miyazaki peinent à le rendre mémorable. Lire la suite...

Faire honneur à ce jeu vidéo du studio CyberConnect2 dirigé par Hiroshi Matsuyama n’a rien de fortuit tant il s’inscrit dans une des missions de la Japan Expo : souligner la fascination du Japon et de la France pour leurs cultures. Lire la suite...